Vers une personnification juridique des animaux ?

Le 11 janvier 2024, le tribunal correctionnel de Lille a décidé de reconnaître un préjudice « animalier » et condamné le propriétaire d’un chat, reconnu coupable d’actes de cruauté ayant entrainant sa mort, à lui verser la somme de 100 € en réparation de son préjudice, distraits par une association de défense des animaux in fine. C’est…

L’incomprise déconnexion entre la plainte d’une victime et les poursuites du parquet

« Maître, si je retire ma plainte, est-ce que mon conjoint sera condamné ? » C’est hélas une interrogation récurrente qui s’empare et me parvient de victimes de violences conjugales tristement devenues l’une des grandes catégories de profils franchissant l’enceinte judiciaire. Ces femmes et, quoique plus rarement, ces hommes sont parfois pris d’une affection résiduelle…