Le traitement des citoyens qu’il a pu observer dans l’antichambre judiciaire, l’ampleur de la réponse pénale contemporaine et la lenteur des procès civils sont autant d’éléments qui commandent l’intervention d’un avocat pleinement investi, si bien que Maître Richard Peil-Hamadouche a une considération particulière envers qui entend le solliciter, exprimée par une assistance humaine et juridique à tout stade de la procédure pénale ou civile intéressant le droit des affaires.

Major de promotion deux années consécutives à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et titulaire d’un Master 2 en droit des sociétés ainsi que d’un certificat en droit des entreprises, il concentre une partie de son activité en conseillant un panel varié de clients relevant du droit des affaires et en assurant la défense des intérêts de tout justiciable le saisissant d’un litige cristallisé dans ces termes.

Lauréat du concours de l’école de la défense pénale, il intervient régulièrement dans ce domaine en faveur de personnes majeures, mineures et de personnes morales, qu’elles soient victimes ou mises en cause dans le cadre d’infractions de droit commun de nature délictuelle ou criminelle et d’infractions financières.

Pupille d’un ancien secrétaire de la conférence, Maître Richard Peil-Hamadouche a en outre été demi-finaliste du concours d’éloquence organisé par le barreau de Paris, à finalité d’investir ces mêmes fonctions.

Aucune procédure, ni même de coloration pénale, ne saurait être réduite à l’art oratoire, mais « avocat » a pour source latine advocatus qui signifie « prêter sa voix ».

C’est sous cette acception et avec passion qu’il met sa voix au soutien de la défense de qui craint ou déplore ne pas être entendu tant il est nécessaire, suivant un incontournable et méticuleux travail accompli sur un dossier, de savoir user des justes mots et ton pour emporter la conviction des juges.


Avant d’épouser les coutures de la robe d’avocat, Richard Peil-Hamadouche est né et a évolué dans un contexte qui l’a sensibilisé à la musique, à la littérature, à l’architecture, aux arts visuels et au cinéma.

Il consacre ainsi une partie de son temps libre à jouer de la guitare, du piano et de la batterie, mais encore à l’écriture qu’il considère comme une « valse de l’esprit ».

En outre, il a pratiqué le théâtre ponctuellement, les claquettes américaines durablement et le Soo Bahk Do, un art martial rivalisant le Taekwondo, jusqu’à atteindre le 1er kup, soit un grade communément symbolisé par la ceinture noire dans d’autres disciplines martiales.

Il a enfin vécu deux ans et demi au Japon, ce qui lui a permis d’augmenter ses compétences linguistiques en comprenant et en parlant un peu le japonais.